Nicolas Lecoq – Photographe

1. Qui es-tu ?
Nicolas Lecoq photographe amateur.

2. Pourquoi es tu devenu photographe ?
Par passion de l’image. Montrer la beauté de la nature et de l’histoire.

3. As tu des mentors ?
Je n’ai pas de mentors.

4. Où trouves-tu l’inspiration ?
Je trouve l’inspiration sur le terrain, nature, lieux abandonnés…

5. Quels sont tes endroits préférés à photographier ?
Les Vosges avec ses cascades et sa forêt très dense.

6. Quel est ton matériel et pourquoi ?
Nikon D5100, Nikon D200. Objectif 18-200, 150-600, 60mm, bagues allongés, trépied, filtre polarysant, aputure led. Nikon a une bonne qualité d’images sans compter une gamme très importantes d’objectifs que l’on peut trouver dans d’autres marques que Nikkor. J’ai choisit ces deux boîtiers pour avoir la possibilité de faire mes propres réglages. Ils sont très polyvalent.

7.  Quels sont tes projets ?
Mes projets principaux sont de montrer aux personnes que la nature nous expose à des spectacles tout les jours et que ces derniers sont magnifiques. Lorsque je fais des photographies de lieux abandonnés c’est pour fixer ce lieu dans le temps avant qu’il ne disparaisse ou qu’il ne soit saccagé, c’est un moyen de ne pas oublier le passé. Un autre projet est en vue qui n’a rien à voir avec la nature ou l’urbex mais je n’en dis pas plus pour le moment.

8. Les principaux challenges auxquels tu as dû faire face ?
Les principaux challenge auxquels je peux faire face c’est d’avoir une idée de rendu de photo et de ne pas savoir forcément le réglage qu’il faut avoir au moment voulu, au bout de 7 ans avec le Nikon d5100 j’apprends toujours des choses. Après un autre problème qui peut se poser c’est l’accès à certains lieux (escarpé, avec des difficultés pour progresser,…).

9. Des conseils pour un photographe en herbe ?
La photographie c’est avant tout une passion, cette dernière il faut la nourrir avec de la pratique et de la persévérance. Lorsque l’on a une idée de photo il faut s’en donner la peine pour arriver à cette idée ou du moins en être tres proche. Par contre il ne faut pas se mettre en danger pour faire le cliché que l’on aimerai, un cliché perdu vaut mieux que perdre une vie.

10. S’il te restait une journée à vivre, tu ferais quoi?
Ce n’est pas une réponse facile… je dirai vivre pleinement ce que l’on aime sans contrainte et avec les personnes que l’on aime.